Une content factory, aussi appelée machine à contenus ou usine à contenus, est une solution cloud qui facilite la création de contenus de qualité à une régularité choisie.
Ces contenus pourront alors être publiés sur le site web et les différents réseaux sociaux d’une organisation dans l’objectif d’augmenter sa visibilité, ses ventes, sa notoriété selon ses objectifs stratégiques.
Réponse courte : en le faisant à la main.
Cependant, si on veut faire un site de 10 pages, ça prend quand même un peu de temps (prévoir 2-3j) selon que les contenus sont disponibles ou non et qu’on maîtrise la technologie choisie. Utiliser une IA n’est peut-être pas finalement une si mauvaise idée.
Mais pour générer un site pertinent avec une IA, on ne se contentera pas comme on l’entend ici et là de fournir un mot, ou un thème, car dans ce cas le résultat sera inconsistant, comme les milliers d’autres sites qui utiliseront ce même mot.
Votre site, le site de votre entreprise, doit refléter votre stratégie, votre vision, issues de vos expériences et de vos échanges avec les prospects, clients et partenaires de votre marché. Bref, ce site doit refléter votre histoire.
Dans le jargon des agences web, on parlera d’un brief. On passe du coup d’un seul mot à 1000 mots, éventuellement structurés en différentes parties logiques, qui permettront à une IA de générer des textes pertinents pour décrire le projet, sa proposition de valeur, ses points forts, ainsi que vos valeurs.
L’IA n’est rien sans notre histoire. L’IA n’a pas d’affect. C’est une suite d’instructions dénuées d’empathie. L’IA est un pisseur de mots.
J’ai parfois du mal à travailler avec une IA à cause du syndrome de l’imposteur. 😔
Pour illustrer mon propos, je vais prendre l’exemple de création d’un post sur LinkedIn ou Insta. 💭💻
Tous les copywriters vous le diront, écrire un post quel que soit le canal utilisé (journal, réseau social…) est un travail difficile. Pour s’aider, on effectue rapidement une analyse du domaine visé pour identifier une accroche intéressante. 💡💻
2 techniques existent :
👉 soit poser la question à Google qui pointera une ressource pour nous aider 🔎🌐
👉 soit directement demander à une IA (ChatGPT et consorts). 🤖💬
Hier, concernant l’exemple ci-dessus, j’avais un frein psychologique à l’utilisation d’une IA alors même que, dans les 2 cas, je fais appel à une ressource tierce, avec quasiment la même question. En fait, l’IA n’a souvent pas plus d’intelligence qu’un moteur de recherche : elle agrège tout simplement des contenus relatifs aux mots-clés liés de ma question. 🤔📚
Le qualificatif d’IA est ainsi parfois contre-productif. On peut avoir peur d’utiliser une IA alors qu’on devrait accepter son aide comme on le fait de Google et des autres ressources. 🙌💻
Depuis que j’ai compris ça, je n’ai plus le syndrome de l’imposteur et j’utilise l’IA pour ce qu’elle est, à savoir une simple aide à la rédaction. 🚀💬
Et vous ? 😃
Pour rappel, comme expliqué dans mes précédents posts sur le sujet, on peut mettre des effets sur le texte dans les éléments caractérisant votre profil, dans le titre ou le contenu des posts grâce au service suivant https://qaz.wtf/u/convert.cgi. Cependant, ce nouveau texte ne sera pas indexé, ce qui va limiter la diffusion de votre post car il ne sera pas trouvé par le moteur de recherche de LinkedIn.
Alors, que peut-on faire ? Il suffit de rajouter des éléments 🅔🅝 🅟🅛🅤🅢 de votre texte, des éléments qui ont uniquement pour but d’🄰🅃🅃🄸🅁🄴🅁 le regard.
Ces mots-là ne pourront pas être recherchés, car ils ne seront pas indexés, mais comme ils sont là uniquement pour attirer le regard, ce n’est pas grave.
CQFD.
⚡️
On joue parfois avec les paramètres de LinkedIn puis on les oublie…
Faîtes attention car vous avez peut-être réglé vos paramètres de visibilité sur votre 1er cercle, alors qu’il vaudrait mieux le régler sur tout le monde + twitter.
En effet, l’option de visibilité « Tout le monde + twitter » optimise la diffusion de votre post qui sera affiché :
En outre, votre post sera accessible depuis son lien de partage, sans passer par la case Connexion !
Bref, attention aux paramètres avec lesquels vous jouez et choisissez « Tout le monde + twitter » ou « Tout le monde » si twitter ne vous intéresse pas.
L’objectif de Veep est de centraliser tous les contenus constituant la présence virtuelle d’une organisation sur internet (site web, réseaux sociaux, métavers demain s’il voit le jour…) et d’utiliser des générateurs pour projeter ces contenus sur la technologie choisie.
Le fond est complètement dissociée de la forme. La création de contenus se fait donc indépendamment des contraintes de mise en page et permet de se concentrer sur sa qualité. La mise en page est spécifique à une technologie et est réalisée par un spécialiste de celle-ci. En les séparant, chacun peut se concentrer sur sa valeur ajoutée.
Veep stockant tous les contenus devient la seule source de vérité. La migration vers une nouvelle version de la technologie utilisée ou vers une nouvelle technologie devient ainsi un jeu d’enfants, il suffit d’avoir le générateur adéquat.
Cette approche, pour être intéressante, nécessite d’avoir de nombreux générateurs afin de pouvoir s’intégrer dans les différents environnements technologiques des utilisateurs.
Le projet, open source, espére rassembler des utilisateurs de toutes les technologies autour de ce concept COPE.
Rejoignez-vous sur Discord ou les forums à partir des liens dans le pied de page !
Lancer un produit est complexe et nécessite l’articulation de nombreuses tâches qui nécessitent elles-mêmes de nombreuses compétences.
Afin de lever ces limites et vous permettre de lancer votre produit rapidement, Veep développe un jumeau digital, une véritable machine à créer automatiquement des contenus, et cela sans aucune compétence technique. Vous pourrez ainsi créer en 15 min. une landing page. Veep peut aussi créer un site avec 10, 100 ou 1000 pages (mais il faut lui laisser un peu plus de temps dans ce cas ;-).
Veep utilise une intelligence artificielle (IA) pour générer automatiquement les pages de contenu : vous devez fournir des informations sur votre projet, comme son nom de domaine, son type, ses thèmes en ajoutant quelques idées qui permettront à l’IA de générer des contenus pertinents. Bien sûr, et même si cela semble être le cas, ce n’est pas magique : il est ainsi impératif de relire la landing page ou les 10 premières pages pour corriger et adapter les principaux contenus mais 80% du travail est déjà fait.
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La mise en place d’une présence virtuelle est complexe et nécessite de multiples outils pour réaliser les nombreuses actions suivantes :
Le projet www.veep.ai/ propose d’adresser ces tâches grâce au développement d’une solution globale basée sur l’automatisation et l’intelligence artificielle.
Certaines tâches ci-dessus sont chronophages et/ou pénibles. Des outils existent pour d’autres mais sont payants et peuvent être complexes à mettre en oeuvre.
L’objectif est de les automatiser au maximum et de fournir une solution globale pour un prix forfaitaire.
Si vous êtes intéressés par un tel projet, rejoignez-nous sur www.veep.ai/ et participez soit en codant, soit en nous donnant des cas d’utilisation.
